Pourquoi je bloque sur mon offre ?
C’est la question que vous vous posez en boucle, entre deux tâches urgentes, trois idées lumineuses et ce petit goût amer de “je devrais déjà l’avoir lancée”.
Vous avez cette envie qui vous travaille — un coaching, une formation, une proposition claire, une offre qui vous ressemble — mais rien ne sort. Ou alors pas comme vous le voulez.
Et ce blocage, il ne vient pas de votre manque de volonté.
Il vient d’un drame invisible que trop peu d’entrepreneures osent nommer : celui des idées qui s’accumulent, des doutes qui étouffent, des standards inaccessibles qui vous paralysent.
Vous avez l’impression que c’est flou, que ce n’est pas le moment, que vous n’êtes pas “prête”.
Mais si on allait regarder de plus près ce qui se joue vraiment ?
Et si, cette fois-ci, au lieu de replier votre idée comme une robe jamais portée, vous choisissiez de la sortir pour de vrai — avec ce que vous êtes aujourd’hui ?
Cet article n’est pas une to-do list.
C’est un miroir, un électrochoc, un appel à l’action douce mais ferme.
Parce qu’il est temps d’en finir avec l’attente. Et de faire place à l’offre qui sommeille en vous.

Je suis une kick ass oracle et consultante spécialisée en Change Management. Je prends le meilleur des outils conventionnels (coaching, orientation professionnelle, stratégies business…) et des outils non conventionnels (numérologie, tarot,…) afin que nous nous créions toutes une activité sur mesure qui soutienne notre mode de vie idéal. Si vous avez besoin d'aide pour développer votre activité, n'hésitez pas à me contacter. Je propose des prestations en tête-à-tête ou en collectif. Pensez aussi à visionner mon atelier offert : découvrez le secret de votre date de naissance pour développer votre business 😉

Sommaire
📌 Ce n’est pas “juste une idée floue” : c’est une offre qui veut naître
📌 L’ennemi invisible : les deux offres imaginaires qui sabotent tout
📌 La seule bonne offre, c’est celle que vous osez sortir
📌 Derrière les excuses, la vérité
📌 Et maintenant ? On ne laisse plus votre offre dans un coin
📌 Foire aux questions – Parce que vous méritez mieux qu’un énième “ça va venir”
Ce n’est pas “juste une idée floue” : c’est une offre qui veut naître
Elle revient toujours, même quand vous ne l’invitez pas
Vous bloquez sur votre offre.
Et pourtant… elle est là.
Tapie quelque part dans votre système nerveux.
C’est une idée qui revient régulièrement gratter à la porte, comme ce chat errant que vous faites semblant de ne pas voir mais qui miaule chaque nuit. Elle revient après vos douches, pendant vos balades, entre deux vocalises d’ado dans la cuisine.
C’est pas une lubie. C’est pas “juste une envie”.
C’est une offre. Une vraie. Une qui veut sortir.
Mais à force de l’avoir remballée 12 fois, vous vous êtes persuadée que c’était flou, pas clair, pas stratégique, pas assez mûr.
Bref : pas maintenant.
Ce n’est pas “pas clair” — c’est que vous attendez qu’elle arrive avec une auréole
Peut-être même que vous avez tout noté dans Notion.
Nom de code : “offre intuitive 2025” ou “idée à retravailler quand j’aurai du temps (lol)”.
Des post-it sur votre frigo, un enregistrement vocal à 00h38, une micro-description griffonnée sur votre iPad pendant un replay de This Is Us.
Elle vous hante sans vous parler.
Elle vous excite sans vous convaincre.
Elle vous ressemble sans oser s’imposer.
Et comme vous êtes une femme structurée, bosseuse, un peu perfectionniste et beaucoup lucide, vous attendez qu’un jour, un faisceau lumineux vienne l’authentifier comme LA bonne idée.
Sauf que le projecteur divin ne passe pas. Et votre idée, elle, continue d’attendre.
Derrière cette idée, il y a votre prochaine version
Ce n’est pas qu’une offre, en fait.
C’est vous. Une partie de vous.
Une facette de votre créativité, de votre puissance, de votre sensibilité business que vous n’avez pas encore osé incarner.
Et tant qu’elle reste dans les limbes, vous pouvez toujours rêver qu’elle sera parfaite.
Mais elle n’apporte ni clarté, ni revenus, ni confiance.
Elle crée de la friction. Un petit goût d’inachevé. Une sensation de retenue, comme un souffle bloqué juste avant une prise de parole.
Et si vous arrêtiez d’attendre “l’élan parfait” pour juste lui ouvrir la porte ?
Pas pour qu’elle vienne en fanfare. Juste pour qu’elle vienne.
Avec son lot de doutes, d’ajustements, de brouillons.
Mais aussi avec sa puissance intacte.
Si vous êtes là, en train de lire ça en pensant “zut, c’est tellement moi”…
Alors vous n’êtes pas en train de rêver une offre.
Vous êtes en train d’étouffer une transformation.
Et votre job, ce n’est pas de mieux comprendre.
C’est de commencer à lui faire de la place.
L’ennemi invisible : les deux offres imaginaires qui sabotent tout
L’offre parfaite (ou l’arnaque façon Marie Kondo x TED Talk)
Elle est là. Dans votre tête.
L’offre parfaite. Celle qui serait applaudie à la fin d’un TEDx ou mentionnée dans le podcast de Clotilde Dusoulier.
Vous l’imaginez avec un design léché, un storytelling puissant, et cette fluidité magique où tout “fait sens” (pardon pour l’expression, vous savez que je l’exècre. En français, sauf si cela a changé on dit : « ça a du sens » ).
Vous voulez une offre qui coche toutes les cases LinkedIn, Pinterest et votre tableau vision :
✨ Impactante. ✨ Alignée. ✨ Rémunératrice. ✨ Inspirante.
Bref, un mix entre Brené Brown et Hermione Granger.
Mais vous savez quoi ? Cette offre n’existe pas.
Elle est comme la maison de vos rêves sur Pinterest : magnifique, mais invivable sans architecte, budget illimité et nerfs d’acier.
Alors vous attendez d’avoir “le bon moment”, “la bonne clarté”, “la bonne formulation”.
Et vous tournez en boucle. Parce que tant qu’elle reste dans votre tête, elle ne peut pas être jugée. Elle peut rester… parfaite.
Mais ce fantasme-là, c’est l’arme la plus sophistiquée du perfectionnisme entrepreneure.
Et ça ne fait pas avancer d’un centimètre.
L’offre honteuse (ou ce cauchemar où tout le monde voit que vous ne savez pas)
Maintenant, scène inverse.
Imaginez que vous sortez votre offre. Pas parfaite. Pas magique. Juste… brute.
Et là, votre cerveau vous balance un court-métrage bien senti :
Vos clients qui fuient.
Vos collègues qui rient doucement.
Votre ado qui vous dit “ça a l’air chelou ton truc, maman”.
Bienvenue dans le club très peu select de celles qui ont peur d’être nulles.
Ce n’est pas juste de l’auto-sabotage. C’est une panique scénarisée, dirigée par votre inconscient Spielberg perso, qui se surpasse dès qu’il s’agit de flinguer vos élans.
Et cette peur-là, elle a un effet radical :
Vous préférez ne rien sortir plutôt que de sortir “ça”.
C’est plus confortable de rêver que vous pourriez un jour créer l’offre parfaite… que de confronter le risque de créer une offre imparfaite… mais réelle.
Entre fantasme et cauchemar : vous êtes coincée dans une série qui tourne en boucle
Vous êtes dans une boucle Netflix sans fin :
Épisode 1 : “je brainstorme”
Épisode 2 : “je clarifie”
Épisode 3 : “je doute”
Épisode 4 : “je retourne sur Notion, j’appelle ça incubation stratégique”
Spoiler : ça ne sort jamais.
Et pourtant… vous le sentez. Cette offre, même imparfaite, elle est VRAIE.
Elle veut naître. Elle veut vivre. Elle veut vous propulser vers quelque chose de plus aligné, plus simple, plus puissant.
Et je vais vous dire un truc qui pique un peu :
La seule offre que vous pouvez sortir, c’est celle que vous allez sortir.
Pas celle que vous admirez chez votre coach préférée.
Pas celle que vous rêvez de proposer « quand tout sera prêt ».
Pas celle que votre syndrome de l’imposteur a repeinte aux couleurs de la honte.
Celle que vous sortez.
Maintenant.
Même si elle boite un peu. Même si elle n’a pas encore son nom final.
Même si vous avez peur qu’on vous dise : “ah, tu proposes ça maintenant ?”
(Oui, Martine, je propose ça. Et tu sais quoi ? C’est canon.)
La seule bonne offre, c’est celle que vous osez sortir
Pas parfaite. Pas honteuse. Juste… réelle.
On va clarifier un truc tout de suite.
Non, vous n’allez pas sortir l’offre parfaite.
Non, vous n’allez pas non plus sortir une arnaque digne d’un téléachat de 2004.
Ce que vous allez sortir, si vous vous en donnez la permission, c’est une offre qui vous ressemble, maintenant. Pas dans six mois. Pas après le prochain cycle lunaire. Maintenant.
Et cette offre-là, elle aura peut-être une structure bancale au début.
Peut-être un nom un peu long. Peut-être une fiche Google Doc ou une page de vente moches.
Mais elle aura une chose que toutes vos idées théoriques n’ont pas :
Elle existe.
Et ça, ça change tout.
Parce qu’entre une idée brillante qui reste en friche et une offre imparfaite mais proposée avec cœur… ce n’est jamais la première qui transforme un business. C’est la deuxième.
L’élan prime sur le plan
Vous attendez encore d’avoir le bon plan, les bonnes étapes, le bon tunnel, le bon calendrier astrologique ?
Breaking news : le plan ne précède pas toujours l’élan.
Vous pouvez commencer par une version bêta.
Vous pouvez tester un format en one-to-one.
Vous pouvez proposer un échange de feedbacks contre un tarif préférentiel.
Vous pouvez faire un post Insta avec un “j’ai cette idée folle, ça vous parle ?”
Et construire au fur et à mesure.
Non, ce n’est pas de l’amateurisme.
C’est de la stratégie organique.
Celle qui permet de tester une idée d’offre sans s’endetter en branding ou en tunnel d’email automatisé version « coucou je suis une start-up ». Y en a marre des funnels qui clignotent comme des guirlandes.
Vous ne vendez pas une promesse : vous ouvrez une porte
Sortir une offre, ce n’est pas vendre une certitude.
C’est ouvrir un espace de transformation.
Vous n’êtes pas là pour garantir que tout sera “parfait” pour vos clientes.
Vous êtes là pour dire :
“Voici ce que je sais, ce que je sens, ce que j’ai construit. Voici comment je peux t’aider maintenant, avec ce que j’ai de plus vivant.”
Ce positionnement-là, il est solide.
Il n’a pas besoin de storytelling émotionnel en 18 bullet points.
Il n’a pas besoin de testimonial photoshopé.
Il a juste besoin de vous, alignée et présente.
Et ça, c’est sexy. Parce qu’on ne veut pas d’une experte qui surjoue l’assurance. On veut quelqu’un qui marche à nos côtés et dit : “Je te vois. J’ai fait le chemin. Voici ce que j’ai à t’offrir.”
Derrière les excuses, la vérité
“Je ne sais pas par où commencer” = “je flippe ma race”
Vous ne le formulez pas comme ça.
Vous dites :
“Je manque de clarté.”
“Je n’ai pas le temps en ce moment.”
“Je suis en train de repenser mon positionnement.”
Traduction ?
Vous flippez.
Et franchement, qui pourrait vous en vouloir ?
Créer une offre, c’est sortir du bois.
C’est dire : « Voilà ce que je crois, ce que je propose, ce que je vaux. »
C’est exposer une partie de vous sans filtre Clarendon ni carré Canva.
C’est le moment où le business n’est plus une intention, mais un vrai geste.
Un saut sans filet.
Et là, on fait tous la même chose : on rationalise notre trouille.
Mais “je n’ai pas le temps” est rarement un fait. C’est une excuse costumée façon “conseil LinkedIn relu par ChatGPT” : propre, lisse, convaincante… et creuse si on gratte un peu.
Les excuses préférées des entrepreneures brillantes
✔︎ “J’ai besoin de plus de retours.” → aka j’ai besoin qu’on me tienne la main jusqu’à ce que plus rien ne bouge.
✔︎ “Je ne veux pas lancer un truc bancal.” → aka je refuse d’apprendre en public.
✔︎ “C’est pas clair dans ma tête.” → aka j’ai peur que ce soit clair et que ce soit nul.
✔︎ “Je suis déjà sur autre chose.” → aka j’ai trouvé une nouvelle distraction qui me permet d’éviter de me confronter à moi-même.
Je vous dis ça avec amour. Parce que je suis passée par là. Et peut-être êtes-vous encore dans cette phase.
Vous pensez qu’il vous manque des infos, alors qu’il vous manque surtout la permission de faire ce que vous sentez.
L’intuition n’a pas besoin de justificatif
Et si vous arrêtiez de chercher à vous convaincre ?
À expliquer, à rationaliser, à demander encore un signe ou une validation ?
L’intuition n’a pas besoin d’un business plan.
Elle a juste besoin d’être écoutée.
Vous croyez que Georgia O’Keeffe ou Björk ont attendu d’avoir une stratégie de contenu ?
Qu’elles ont aligné leurs chakras et leurs KPI avant d’oser leur première création ?
Non. Elles ont avancé avec ce qu’elles avaient. Et elles ont laissé leur œuvre parler avant leur pitch.
Construire une offre alignée, ce n’est pas cocher des cases.
C’est sentir ce qui vous traverse, ce qui vous appelle, et poser un acte.
Même petit. Même flou. Même “à ajuster plus tard”.
Et ce geste-là, c’est une vérité.
Pas celle que vous cherchez.
Celle que vous incarnez.
Et maintenant ? On ne laisse plus votre offre dans un coin
Ce n’est pas un caprice. C’est un appel.
Vous n’avez pas une “envie de plus” parce que vous êtes instable, dispersée ou capricieuse.
Vous avez une offre en vous qui veut naître — et chaque jour où vous l’étouffez, vous nourrissez une forme de mélancolie professionnelle.
Vous voyez cette scène dans Dirty Dancing où Bébé dit “on laisse pas Bébé dans un coin” ?
Et bim, elle se lève, elle danse, elle prend sa place.
Vous n’êtes peut-être pas en train de danser portée par Patrick Swayze, mais c’est exactement ce qu’on va faire avec votre idée :
Lui permettre de sortir de son coin, de monter sur scène, de vivre sa vie.
Même sans musique parfaite. Même sans chorégraphie finale.
Vous n’avez pas besoin d’avoir tout prévu pour commencer
Pas besoin d’un plan marketing à 18 étapes.
Pas besoin d’un branding léché ou d’un écosystème automatisé.
Pas besoin d’avoir votre “signature méthodologique unique” tatouée sur le front.
Vous avez juste besoin d’un cadre bienveillant mais exigeant, d’un espace pour dire :
“OK. Je veux créer quelque chose de vrai. Je veux comprendre pourquoi je bloque. Et je veux y aller, même avec les genoux qui tremblent.”
Ce cadre, c’est ce qu’on voit dans l’atelier Hearth.
L’atelier Hearth : pour sortir de l’ombre sans vous trahir
Cet atelier en ligne, c’est 90 minutes pour comprendre pourquoi vous bloquez et comment retrouver le chemin vers une offre claire, rentable et alignée.
🎯 Ce que vous allez découvrir :
-
Une méthode simple pour créer une offre qui vous ressemble
-
L’erreur n°1 qui vous coupe de vos clientes et de votre légitimité
-
Un mythe business qui vous ralentit plus que vous ne le pensez
Sans bullshit marketing. Sans pitch robotique.
Juste vous, votre valeur, et une méthode pensée pour celles qui veulent plus de clients sans s’épuiser ni se transformer en clone LinkedIn.
Il est temps de remettre votre lumière au centre
Vous n’avez pas besoin d’attendre d’avoir “tout compris” pour agir.
Ce n’est pas de stratégie miracle dont vous manquez.
C’est d’un cadre qui respecte votre intelligence, votre rythme et votre ambition.
Cet espace, vous le trouverez dans l’atelier Hearth.
🌀 90 minutes pour poser les bases d’une offre vivante, engageante, et enfin visible.
🌀 90 minutes pour comprendre ce qui bloque… et comment faire autrement.
🌀 90 minutes pour dire stop au doute, et oui à votre lumière.
📆 C’est en live, une seule fois, sans replay.
👉 Inscrivez-vous ici gratuitement et venez découvrir pourquoi votre prochaine offre ne doit pas attendre.
Foire aux questions – Parce que vous méritez mieux qu’un énième “ça va venir”
Comment savoir si mon offre est prête à sortir ?
Elle ne sera jamais prête au sens où vous l’espérez.
Mais elle peut être suffisamment vivante pour sortir maintenant.
Si vous ressentez à la fois de l’envie et de la peur, vous êtes pile au bon endroit.
Une offre alignée ne tombe pas du ciel : elle se clarifie en marchant.
Faut-il une page de vente pour chaque offre ?
Non. Mais il faut un espace clair pour formuler votre proposition.
Ça peut être une page de vente, un post bien rédigé, un vocal convaincant, ou une conversation bien menée.
L’essentiel, c’est que votre cliente puisse comprendre : pour qui c’est, pourquoi, comment, combien.
La forme vient après. La clarté d’abord.
Comment créer une offre quand je n’ai pas encore de niche ?
Arrêtez de penser “niche”.
Commencez par penser “rencontre”.
Avec qui avez-vous envie de travailler ? Qui pouvez-vous vraiment aider ?
Une offre peut être le point de départ pour affiner votre positionnement — pas l’inverse.
Et spoiler : les plus belles offres sont souvent nées avant que la niche ne soit claire.
Et si personne ne l’achète ?
Ah, la grande peur. Celle qu’on ne dit pas trop fort… mais qui ronge.
Si personne ne l’achète, ce n’est pas une tragédie. C’est un feedback.
Votre job, ce n’est pas d’avoir tout bon du premier coup.
C’est d’oser proposer, écouter, ajuster.
Une offre qui ne se vend pas, c’est une offre qui a besoin d’amour, pas d’un enterrement.
Ce n’est pas un échec. C’est une itération.
Tableau : une partie du Mirror Reflection d’Alice Pike Barney – 1911 – Smithsonian American Art Museum
0 commentaires